Conscience du Réel — Physique — Sylvain Lebel

Physique

Ce qu’il y avait d’important à dire a été dit.

Les sections qui vont suivre explorent comment un principe unique peut engendrer des structures analogues à celles du Modèle Standard, sans prétendre remplacer la physique établie. Mon but n’est pas de décrire ce qui se passe en réalité, mais soutenir l’idée qu’on peut engendrer des choses fort complexes avec une seule substance, et qu’il n’en faut pas plus pour engendrer le monde tel qu’on le connaît. Pour ce faire, je poursuivrai l’exploration des produits physiques issus de la complexification de la substance du réel, CELA. Après avoir montré comment des notions fondamentales comme l’espace, le temps, la vitesse, l’accélération ou la masse pouvaient émerger naturellement de son expansion multidimensionnelle, nous allons examiner si cette dynamique permet aussi de produire des entités semblables à celles reconnues par la physique moderne, soit des analogies de structure, de symétrie et de comportement dynamique avec celles du modèle standard de la physique.

Tableau simplifié du Modèle Standard de la Physique montrant les quatre forces fondamentales et les familles de particules : bosons (photon, W, Z, gluons), leptons (électron, neutrino) et quarks (haut, bas).

Modèle Standard — Vue d’ensemble simplifiée

Résumé : Tableau des forces fondamentales et familles de particules du Modèle Standard (bosons, leptons, quarks).

Description longue (Markdown)

L’approche pourrait aussi éclairer certaines lacunes du modèle standard (gravité, matière noire, hiérarchie des masses…). Nous porterons surtout attention aux constituants de la matière ordinaire : quarks, leptons, et les particules porteuses d’interaction (bosons), tous considérés sous leur forme ponctuelle, c’est-à-dire non superposée, non intriquée, sans effet de champ macroscopique. Mais il ne s’agit pas d’expliquer la physique à partir de CELA, plutôt de montrer que la physique peut émerger nécessairement d’un processus d’auto-complexification obéissant aux seuls attributs fondamentaux de la substance du réel.

Ainsi, l’étude qui suit n’a pas pour but de décrire le monde, mais de montrer comment le monde peut se décrire lui-même à partir de son propre principe.